Les Osaka Monaurail nous avaient déjà gratifiés d’un excellent album en 2012 et ils réitèrent avec « Riptide ».

 

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Ces japonais font de la soul/funk qu’un James Brown ou autre Sly Stone ne renieraient sans doute pas. Fort d’une expérience d’une quinzaine d’années, les 9 membres du groupe (ils étaient 20 au départ !) envoient du son et du groove comme rarement maintenant. Chacun excelle dans son instrument. Dai Nakamura fait tourner sa basse avec une rythmique digne des plus grands, c’est un peu le pilier du groupe et la section cuivre gonfle le tout de façon magistrale. Vocalement, Ryo Nakata s’en sort plutôt bien même s’il n’est pas mis spécialement en avant, mais ici comme c’est plutôt funk, on se focalise plus sur les instruments et les déhanchements qu’ils procurent car avec Osaka Monaurail, on danse !!!

Katia Royère de Bastiani