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The young Big Bill Bronzy : 1928-1935, de Big Bill Bronzy
Les premiers enregistrements de Big Bill Bronzy, bien avant sa période Chicago Blues, sont là pour prouver qu'il reste un des grands génies de la guitare blues. Envoûtant...
La jeunesse de la bête, de Seijun Suzuki
Sejun Suzuki est un des grands réalisateurs japonais du XXème siècle. Je suis dingue de son esthétique pop kitsch et de ses histoires de yakusas période 60's. Un déluge d'inventions visuelles inonde ses films, parfois au détriment de l'histoire policière, mais c'est ça qui rend le truc cool !
La planète sauvage, de René Laloux
Un chef d'oeuvre du cinéma d'animation des années 70 qui nous fait voyager sur une étrange planète Ygam peuplée de Draags (des humanoïdes implacables à l'intelligence supérieure) et d'Oms (une espèce animale, la nôtre inférieure et manipulable). Si le propos a un peu vieilli, la dimension poétique, elle, reste intacte grâce aux dessins surréalistes de Topor. Avec le temps, ces derniers, ainsi que la sublime B.O. d'Alain Goraguer, sont devenus cultes.
Whatever it takes, de The James Hunter Six
Un chic, une classe et une élégance musicale qui défient le temps et les modes. Cela fait des années que le britannique James Hunter nage à contre-courant et frise l'insolence en faisant la musique qu'il aime : une soul classique et intemporelle à la fois.
L'homme de la rue, de Frank Capra
Aah "L'homme de la rue"!! Capra c'était le "feel good director" du cinéma holywoodien des années 30-40. Si vous avez oublié ces classiques, revenez-y, c'est du pur bonheur cinématographique. Chez Capra les petits et les pauvres finissent toujours par l'emporter ! De vrais contes de fées je vous dis !
Novecento : pianiste, de Alessandro Baricco
Un texte court à lire à voix haute selon son auteur, un ragtime littéraire, un monologue fantastique sur lequel on verse des larmes de crocodile…
Le maître d’escrime, d'Arturo Perez-Reverte
Ce roman est l’histoire d’un duel entre un vieux maître d’escrime et une jeune femme qui rêve de connaître sa botte secrète. Symboliquement bien sûr, c’est la lutte de l’Ancien Monde contre le Monde Moderne. Une tragédie existentielle sous couvert d’un suspense historique que l’on dévore de bout en bout. Palpitant !
Auberge de la Jamaïque, de Daphné Du Maurier
De l’aventure, des contrebandiers, une lande anglaise balayée par le vent du large, du suspense, des rebondissements. Hitchcock a abondamment puisé dans l’œuvre de cette romancière passée maître dans l’art de raconter des histoires.
Récital 1953, de Clara Haskil
Une pianiste d’exception, une vie traversée par les drames, la maladie, la souffrance physique et la guerre. Clara, c’est la Frida Khalo de la musique classique, une figure tragique et torturée qui n’en finit pas de fasciner les mélomanes. Moi aussi j’ai succombé…
Clara Haskil : album, de Clara Haskil
Et pourquoi ne pas redécouvrir Clara Haskil en images ? Voilà un bien bel album rare qui nous offre les images d’une femme d’exception, d’une grande beauté. A quand un biopic sur cette artiste puisque c’est la mode ??
La promesse, requiem pour le roman policier, de Friedrich Dürrenmatt
Un roman construit sur la promesse qui deviendra obsessionnelle d'un inspecteur de police à trouver l'assassin d'une gamine. Quand un grand écrivain suisse apporte sa pierre à l’édifice du roman policier… Nous sommes en 1958, le roman sera adulé par les uns et détesté par les autres… A lire absolument pour choisir son camp !