Les chroniques
La BDHV persiste et signe
Retrouvez ici toutes nos chroniques.
Beau ténébreux androgyne tout droit sorti d’un shōjo manga, un jeune et riche dandy fin-de-siècle est un jour révélé à lui-même par une comtesse un rien perverse.
On le comprend en lisant la postface écrite par l’auteur lui-même,
De Niklaus Meienberg à Gabriel de Roulet, de Jean Ziegler à Madeleine Lamouille, on ne le redira jamais assez :
Alors que se multiplient les projets d’enfouissement de déchets nucléaires, se pose, instante, la question de la transmission aux générations futures de la mémoire de ces sites.
Une jeune femme livre ses démons par écrit et convoque ce faisant des artistes et leurs créations comme compagnons de route.
Jaxie a 16 ans. Il réagit parfois avec violence, alors ceux de son lycée le craignent et le rejettent.
Les vieux punks ne sont pas tous morts et c’est heureux.
En écrivant une suite aux Nuits rouges, Sébastien Raizer crée la surprise, tant la fin de son livre précédent semblait définitive.
Qu’on ait ou non le pied marin, le bateau reste à coup sûr l’un des plus puissants vecteurs de l’imagination littéraire.
Violent, geignard et parfaitement insupportable, Mahoney est un petit fermier veuf, à la tête d’un nombre indéterminé d’enfants qu’il s’applique à rendre malheureux par son comportement lunatique.
Papa, maman, deux enfants, les Goldschmidt forment une famille ordinaire.
Dans un village-vacances, près d’un loch en Ecosse, il pleut.
Toutes les guerres ont leurs salauds et leurs héros.
Amsterdam, 1938. Alors que la guerre menace chaque jour davantage, deux jeunes femmes louent un appartement en commun.
En attaquant ce roman de Jean-Marie Gourio, bien connu pour ses brèves de comptoir,
Il arrive parfois que l’exofiction fictionne un peu plus que l’exige la norme qui prévaut un peu partout dans l’édition.