Les chroniques
La BDHV persiste et signe
Retrouvez ici toutes nos chroniques.
Pourquoi continuer ? Tout a déjà été fait, et depuis longtemps.
Serait-ce le sacre pour l’enfant terrible de Manchester, Liam Gallagher, à qui un documentaire est (enfin) consacré !
Elona est une jeune photographe spécialisée dans les portraits.
Bien sûr, il y a Dumas et ses Trois mousquetaires, Paul Féval et Largardère, Michel Zevaco et les Pardaillan, Gautier et son Capitaine Fracasse…
Naomi est une enquêtrice spécialisée dans les cas désespérés,
Une jeune femme, plongeuse dans un restaurant à Paris, fait un malaise.
Deuxième roman de Manchette paru à la Série noire en 71, ce texte court et nerveux est réédité par la collection en hommage à l’inventeur du néo-polar mort il y a vingt-cinq ans.
Tout arrive : Nathalie, une jeune costumière francophone à peine sortie de l’école, est engagée par un trio d’acrobates du cirque de Vladivostok, dans l’Extrême-Orient russe.
Dominique Manotti n’a pas son pareil pour gratter là où ça fait (encore) mal,
Qui n’aura pas pleuré à la lecture de cet album n’a pas de cœur.
Deux jeunes boxeurs que tout oppose, un chef d’entreprise masturbateur, un clochard kleptomane, des prostituées sentimentales, des étudiants se proposant de construire un « suicidotron »...
En 1881, Maupassant a publié son premier recueil et il est au début de sa gloire littéraire lorsque Le Gaulois l’envoie en Afrique du Nord pour une série d’articles destinés à couvrir, entre autres, une révolte indigène.
En France, les passions politiques font leur entrée en littérature avec Balzac,
Son frère prématurément décédé, la jeune Natsuko abandonne son travail dans la publicité pour la fabrique de saké familiale, dont il était le gérant.
Jeune pianiste doué, Bernhard est un ange blond de dix-sept ans,
Basées à Marseille, les éditions du typhon proposent depuis 2018 des textes exigeants, pépites oubliées ou manuscrits contemporains inclassables, servis par une maquette classieuse et soignée.
Ceux qui écoutaient France Culture à la fin des années 80 se souviennent avec émotion d’Agora
Révélé au public français en 1998 lors de l’exposition Art Outsider et Folk Art des collections de Chicago à la Halle Saint-Pierre,
Simon a soixante-cinq ans dont trois de prison pour avoir tué accidentellement l’un de ses voisins.
En 1876, Bram Stoker quitte son Irlande natale pour devenir l’administrateur du Lyceum Theater de Londres.
Marcus a un peu plus de onze ans quand sa mère meurt dans un accident de voiture.
Daniel de Roulet a le jarret vigoureux, le pied léger et les épaules solides.
Un homme perché au sommet du mât vertigineux, disproportionné, d’une minuscule barque de pêche ;
La composition est presque abstraite, géométrique et, pourtant, c’est bien une chaise, un escalier, une église de campagne en bois, des fenêtres, un vieil arrosoir…
La poésie n’a pas bonne presse, voire pas de presse du tout.
Le premier roman de Kerry Hudson, Tony Hogan m’a payé un ice-cream soda avant de me piquer maman,
Comment dit-on « j’voudrais ben mais j’peux point » avec l’accent d’Oxford ?
En ces temps confinés, il est bon, parfois, de se rappeler qu’il y a pire ailleurs.
Après Nous n’irons pas voir Auschwitz (Cambourakis, 2011), Jérémie Dres continue d’explorer les racines juives de sa famille.
Alex, journaliste people, décide de passer l’hiver 2010 à Malagusta.
Dès le chapitre introductif, écrit au présent et à la première personne, on sait qu’un personnage est en errance.
Entre enfer et paradis, un jeune garçon fait l’apprentissage du monde, porté par la prose ample et poétique d’un écrivain bordelais trop tôt disparu.
Quand Zack le beau gosse et Baloo le géant noir se retrouvent à une table de poker, les autres joueurs finissent à poil.
Traduit pour la première fois sous le titre Septembre en noir et blanc (Denoël, 1981, puis 10-18, 1984),
Imaginez un monde sans les Beatles ou du moins un monde où personne ne se rappelle qu’ils ont existé sauf…
Un narrateur se raconte, à la première personne et au passé, ou plutôt il décrit des événements marquants de son existence, des actes qu’il a commis à différentes périodes de sa vie.
« C’était un samedi soir, le meilleur moment de la semaine, celui où l’on s’amuse pour de bon, l’un des cinquante-deux jours de gloire dans la grande roue de l’année qui tourne si lentement. (…)
Soyons francs, le titre est un peu trompeur : non seulement le destin d’Odette n’a rien d’absolument tragique mais il sera surtout question dans ce livre de son mari Robert.
On aura beau croire avoir déjà tout lu sur le sujet, on aura beau n’entretenir aucun doute, on aura beau savoir, les nazis ne cesseront jamais de nous surprendre.
Il est des écrivains autour desquels on tourne. On craint d’être déçu.
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