Les chroniques
La BDHV persiste et signe
Retrouvez ici toutes nos chroniques.
Publié pour la première fois en 1971, adapté au cinéma par Robert Mulligan en 1972, L’autre se déroule dans les années 30, le temps d’un été, dans une vaste propriété du Connecticut.
À l’heure où Ridley Scott se prend pour Napoléon, on préférera nettement rester chez soi pour lire ou relire les Sharpe de Bernard Cornwell qui, contrairement à Joaquin Phoenix, n’ont pas pris une ride.
On pouvait s’attendre, avec Les affreux et son titre laconique, à une œuvre dans la même lignée que le premier roman de Jedidiah Ayres, Les féroces, paru chez EquinoX en 2018.
N’ayant pu entrer aux Beaux-Arts, le jeune Chongrui, faute de mieux, devient ouvrier-mécanicien.
A l’heure où un nouveau Napoléon apparait sur les grands écrans du monde, c’est peut-être le moment de se risquer à un décriptage plus historique de cette aventure napoléonienne qui a laissé des traces jusque dans nos vies d’aujourd’hui.
Tom Kettle, 66 ans, ancien flic, file une retraite paisible dans un village à quelques encablures de Dublin.
Ed a toujours détesté la ville où il a grandi. Cerbère, banlieue parisienne, quartier résidentiel plutôt chic où il fait bon être comme tout le monde.
1936. En route pour l’Allemagne, en pleine forêt vosgienne, un train déraille.
Zoé, étudiante en art à New-York, se voit proposer l’opportunité d’une année d’étude à Berlin.
Parmi la nation kurde, écartelée entre quatre pays, les Kurdes d’Iran sont sans doute les plus pauvres et les plus maltraités.
Cette fois, c’est fini. Après Les nuits rouges et Mécanique mort, Sébastien Raizer avec Terres noires semble clore définitivement son cycle lorrain.
Pierrot, la vingtaine, après quelques mois d’errance à Montpellier, est revenu vivre chez ses parents.
En ces temps difficiles, il est bon, parfois, de se voir mettre un peu de baume au cœur.
Léo est vendeuse dans une boutique de prêt-à -porter pour femmes enceintes.
Agatha est la riche héritière d’un père russe gangster qui lui a laissé sa fortune et des immeubles dans Soho, dont les loyers ne lui rapportent pas assez.
Ceux pour qui le mot manga n’évoque encore que Dragon ball, One Piece ou Naruto auraient tout intérêt à jeter un coup d’œil du côté de ce nouvel album de Shizuka Nakano.
Deux sœurs se retrouvent en Dordogne pour vider la maison familiale suite au décès de leur père.
Patrick Jackson, prof d’une trentaine d’années, est mourant.
Elle a dix-sept ans et, quittant sa famille d’accueil, elle part sur les routes à la recherche de sa sœur rejoindre ce qui vit la nuit ;
Après André-la-Poisse, en 2021, les Éditions du Typhon poursuivent leur réédition d’Andréï Siniavski (1925-1997)avec Graphomanie et Le Verglas, deux de ses premières nouvelles, ici regroupées sous le titre C’est bien écrit !
Tout juste affecté à son nouveau poste de CPE au collège de Planoise, quartier sensible de Besançon, Thibault, trentenaire célibataire gentiment de gauche, emménage dans une des tours à quelques encablures de son boulot.
Pour la plupart de ses lecteurs, Jirô Taniguchi (1947-2017) n’est rien d’autre que l’auteur paisible et contemplatif de L’homme qui marche, de Quartier lointain ou du Journal de mon père.
Le XXe siècle a vu les civils devenir les premières et les principales victimes de conflits de plus en plus meurtriers
Gio, un jeune Gitan, n’est plus tout à fait le même lorsqu’il sort de l’hôpital où il est resté longtemps entre la vie et la mort après avoir été poignardé.
L’histoire de Bone, le premier roman largement autobiographique - publié en France en 1999 - de Dorothy Allison, avait été un choc.
On ne sait jamais vraiment à quoi s’attendre quand on commence un livre de Chomarat.
Quand elle ne catalogue pas les livres avec la frénésie que connaissent nos collègues du réseau des bibliothèques de la Haute-Vienne, Marianne Peyronnet en écrit.
Nous voici au pied du « Mur », un roman dystopique écrit par notre camarade Marianne Peyronnet.
Une citation de Cioran en exergue donne le ton, le court roman d’Espedite ne lorgne pas du côté de la gaudriole.
Le titre est explicite. Ils sont quatre et ils sont de Manchester.
Il y a toujours un chat pour se promener dans les livres d’Olivier Mak-Bouchard, en manière de genius loci flegmatique et discrètement bienveillant.
Petite personne délurée de 7 ou 8 ans, M. accompagne son père voyageur de commerce dans ses tournées, à l’insu de sa mère et au détriment de toute instruction académique.
Casquette sur cheveux blonds, short en jean sur longues jambes, Salomé est la reine de la place Stalingrad.
Il n’est pas toujours bon d’avoir réponse à tout, les forts en thème ne sont pas forcément les plus heureux des hommes et la bosse des maths ne résout en rien cette équation autrement plus ardue qu’est l’existence.